dimanche 7 février 2016

Lundi 8-2 (Marc 6,53-56)


53 Après la traversée, abordant à Génésareth, ils accostèrent.
54 Ils sortirent de la barque, et aussitôt les gens reconnurent Jésus :
55 ils parcoururent toute la région, et se mirent à apporter les malades sur des brancards là où l’on apprenait que Jésus se trouvait.
56 Et dans tous les endroits où il se rendait, dans les villages, les villes ou les campagnes, on déposait les infirmes sur les places. Ils le suppliaient de leur laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau. Et tous ceux qui la touchèrent étaient sauvés.

« Jésus, viens nous guérir !»  « Seigneur, apprends-nous à aider les malades, et tous ceux qui souffrent »
Dans cet Evangile, nous voyons tout l’amour de Jésus pour ceux qui souffrent.
»Des foules nombreuses viennent de partout, et apportent leurs malades à Jésus ». Elles ont compris que Jésus est vraiment le Sauveur. Les gens n’osent même pas le toucher. Ils demandent seulement, de toucher le bord de son manteau. Comme nous l’avons déjà vu mardi dernier, avec  la femme qui perdait du sang (Marc 5,28)

Jésus aime les gens, et il agit. Car Il est bon. Il fait tout pour les aider, et pour les guérir.
Il soigne tous les malades qu’on lui apporte. Sans choisir, et sans rejeter personne. C’est pour cela qu’une grande foule vient à lui.
Que faire, pour continuer le travail de Jésus ?
D’abord, le reconnaître, comme la foule. Savoir qu’Il est vraiment le Sauveur. Bon, sauve tout notre personne
 Le chercher, et le suivre dans toute notre vie. ?

2)Aider tous ceux qui souffrent, et qui ont besoin de nous. Ceux qui souffrent, dans leur corps, mais aussi dans leur coeur. Les malades ont besoin  de médicaments. Ils ont besoin de nourriture. Mais ils ont surtout besoin d’amitié, et d’encouragement. Ils ont besoin de conseils pour vivre leur maladie dans la foi. Ils ont besoin qu’on prie avec eux, dans leurs maisons. Et pas seulement de prier pour eux, dans nos églises et nos réunions.
Les familles, elles aussi, ont besoin de prières et d’encouragement. Et aussi de conseils, pour laisser les pensées d’autrefois. Et toutes les accusations de maraboutage et de sorcellerie. Pour arrêter de dire : » ce n’est pas une maladie des blancs. Il faut chercher qui lui a envoyé cette maladie ! ».

Ne pas attendre que les malades viennent à nous. Mais faire comme Jésus : sortir, aller dans tous les quartiers. Dans tous les villages, et jusque dans les fermes. Pour chercher les gens qui sont oubliés, et dont personne ne s’occupe.

Ne pas rester enfermés dans nos églises et nos paroisses. Mais aller sur les places publiques, comme Jésus. Guérir et sauver nos frères et nos sœurs, dans toute leur personne et dans toute leur vie : dans leur Corps, leur esprit, leur cœur, et leur âme

Et pour tout cela, nous agissons ensemble, en communauté, et dans l’amitié. Comme Jésus qui est toujours accompagné de ses disciples (53). Que fait notre CEB, pour les malades du quartier ? Moi-même, qu’est-ce que je fais pour eux ?

Génésareth, c’est un pays de païens : Comme Jésus, nous allons vers tous les hommes sans distinction, pour apporter à tous, l’amour et la Bonne Nouvelle de Jésus.

 « Merci Seigneur de nous guérir de toutes maladies et de tout mal ».
11 février : journée mondiale des malades

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